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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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IFRI - Le paysage des énergies renouvelables en Europe en 2030 - 0 views

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    Cette étude analyse les règles européennes destinées à promouvoir les énergies renouvelables, en pointant leurs nouveautés et les difficultés qu'elles soulèvent. Elle souligne les conséquences de certaines des mesures envisagées et accorde une attention particulière au marché de l'électricité. La Commission européenne a déposé le 30 novembre 2016 un ensemble de propositions, le « Paquet Energie Propre », touchant un large spectre d'activités. La présente étude analyse les dispositions de ce paquet visant à améliorer l'efficacité énergétique de 30 % et à donner aux énergies renouvelables une part de 27 % de la consommation en 2030. En 2014, les Etats avaient demandé que ces objectifs s'apprécient pour toute l'Union européenne ; néanmoins la Commission souhaite obtenir un mandat pour contrôler que chaque État apporte une contribution honnête à l'effort collectif. L'étude souligne que l'objectif de 30 % retenu pour l'efficacité énergétique affaiblit le rôle dévolu au marché du CO2 ; les simulations révèlent que cette faiblesse bénéficiera au charbon, qui gardera en 2030 une place supérieure à celle qu'il aurait occupée avec un objectif de 27 %, le gaz naturel étant au contraire pénalisé par un faible prix du CO2. Il apparait également qu'en demeurant trop bas, le prix du CO2 dissuadera certains investissements en faveur des énergies renouvelables qui auraient vu le jour naturellement avec à un prix élevé ; il sera donc nécessaire de déployer des politiques publiques coûteuses pour déclencher ces investissements, afin que la part de ces énergies totalise 27 % en 2030. Les simulations montrent aussi que l'objectif relatif aux énergies renouvelables sera atteint en grande partie grâce à une croissance très rapide de l'électricité d'origine éolienne et solaire. Les propositions du 30 novembre 2016 visent donc à favoriser le développement de ces deux filières, en réformant le ma
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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Kantar - Les Français et la question du logement dans le cadre du Grand Débat - 0 views

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    "Si le logement n'est pas en tête des problèmes prioritaires des Français, il n'en reste pas moins un sujet important pour eux Un tiers des Français (33%) cite le logement parmi les sujets qui les préoccupent le plus lorsqu'ils pensent à leur situation personnelle. C'est particulièrement le cas des plus jeunes (43% auprès des moins de 35 ans) et des locataires (44%). Il est de plus un sujet de conversation important pour eux : 55% parlent parfois ou souvent de la situation du logement en France avec leurs proches. 3 Français sur 10 (29%) déclarent éprouver des difficultés à faire face à leurs loyers ou à leurs remboursements d'emprunt immobilier, un niveau qui s'élève à 45% chez les locataires. Plus spécifiquement, 44% des locataires du privé pensent qu'ils pourraient avoir un jour besoin d'un logement social. Des Français plutôt insatisfaits de l'action des pouvoirs publics en matière de logement La majorité des Français (61%) juge l'action des pouvoirs publics insatisfaisante dans le domaine du logement. Ils expriment des avis partagés sur la situation du logement en France dans les années à venir : 33% considèrent que la situation va se dégrader, 28% qu'elle va s'améliorer et 33% pensent que la situation va rester sans changement. Plus de la moitié des Français (54%) estiment par ailleurs que l'Etat et les collectivités territoriales devraient investir plus dans le logement. Le thème du logement dans le cadre du Grand débat national : une place accordée jugée insuffisante et une manière d'aborder le sujet perçue comme inappropriée Pour deux tiers des Français (65%), la thématique du logement a été insuffisamment abordée dans le cadre du Grand débat national. Parallèlement, 52% des Français considèrent qu'aborder ce thème sous l'angle des économies que devraient réaliser l'Etat et les collectivités locales n'est pas la bonne manière de le faire. Dans ce contexte, l
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Banque mondiale - Renforcer la résilience des plus pauvres face aux catastrop... - 0 views

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    En 2013, près d'un million de Philippins ont basculé dans la pauvreté après le passage du typhon Haiyan, qui a amputé l'activité économique de 12,9 milliards de dollars et détruit plus d'un million d'habitations. Au Bangladesh, juste après que le cyclone Aila s'est abattu sur les côtes du pays en 2010, les taux de chômage et de pauvreté ont bondi de respectivement 49 et 22 %. Les difficultés économiques dans lequel s'est retrouvé le Guatemala à la suite de l'ouragan Stan, en 2005, ont contraint 7,3 % des familles sinistrées à envoyer leurs enfants travailler au lieu d'étudier. Où qu'elles frappent, les catastrophes naturelles laissent bien plus qu'un champ de ruines : elles condamnent plus que jamais à la pauvreté les populations concernées. Pourtant, quand un tel événement fait la une de l'actualité de nos jours, c'est son coût financier - les dégâts infligés aux bâtiments, aux infrastructures et à la production agricole - qui est mis en avant. De nouveaux travaux de recherche suggèrent néanmoins que l'on ne peut se contenter de réduire l'impact de ces catastrophes à leurs conséquences financières. Car cela revient à trahir la réalité. En parlant d'argent, on n'évoque en fait que les pertes subies par les personnes qui avaient quelque chose à perdre, donc les plus nanties. C'est ignorer totalement l'impact dévastateur sur les populations pauvres, dont les souffrances sont, en proportion, bien plus cruelles que dans les milieux aisés. C'est en se plaçant de ce point de vue qu'une nouvelle étude publiée par la Banque mondiale et la Facilité mondiale pour la prévention des risques de catastrophes et le relèvement (GFDRR) met en garde contre l'impact, beaucoup plus lourd qu'on ne le pensait jusqu'ici, des catastrophes naturelles sur la lutte contre la pauvreté dans le monde. Lancé cette semaine à l'occasion de la COP22, le rapport Unbreakable: Building the
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Ethique et Pandémie - Le Covid-19 et les vulnérabilités révélées - 0 views

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    "Le révélateur de nos vulnérabilités structurelles et de notre déni de la mort Le Covid-19 n'est a priori ni le plus virulent ni le plus mortel des virus. Sa puissance et sa nocivité sont plus subtiles : elles tiennent à son extraordinaire capacité à se propager et à se faufiler dans nos failles pour atteindre le cœur de nos systèmes et les mettre littéralement à l'arrêt, sous réanimation. Nous étions pourtant sûrs de notre invincibilité. Quel autre modèle pouvait-il rivaliser avec le nôtre et toute sa puissance scientifique, industrielle, économique, politique ? Nous avions pourtant déjà été alertés sur la faiblesse structurelle de nos édifices. L'urgence écologique, la crise de 2008, les attentats terroristes, les attaques informatiques, le soulèvement des Gilets jaunes, etc., étaient déjà venus révéler la porosité fondamentale de nos digues et un certain essoufflement du modèle. Alors même que la menace était abondamment documentée et annoncée, nous n'avons rien vu venir, aveuglés par l'assurance que confère l'arrogance. Nous n'imaginions pas avoir encore un talon d'Achille. Or le propre du talon d'Achille est de se faire oublier pour nous rappeler, le moment venu, à notre condition fondamentale : celle de notre vulnérabilité. Voilà ce que le Covid-19 est venu pointer. Ce coronavirus (littéralement « poison couronné »), c'est David qui se rit de Goliath, c'est le manant qui pointe du doigt le roi nu. Il est entré sans frapper, balayant nos forteresses de sable. La posture guerrière, initialement convoquée, gros bras et menton haut, s'est montrée dérisoire. Passé le temps de la bravade, le ton se fit plus humble : on n'écrase pas un moustique avec des moulinets de gourdin. Et on entendit dire qu'on ne savait pas, prélude indispensable à l'art de se poser les bonnes questions. Cette épidémie, c'est notre Azincourt moderne. En quelques jours seulement, nous avons implacable
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Pollution de l'air : le coût de l'inaction - Rapport Tome I Sénat - 0 views

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    "L'actualité récente a été marquée par des épisodes récurrents de pics de pollution, le dernier en date ayant eu lieu un mois après la constitution de la commission d'enquête sur le coût économique et financier de la pollution de l'air. Or, si ces pics entraînent un afflux de consultations aux urgences, c'est la pollution « de fond », c'est-à-dire la pollution constante, qui provoque les effets les plus durablement néfastes pour la santé. Les trois types de maladies causées par la pollution de l'air les plus communes sont les maladies respiratoires, au premier rang desquelles la bronchopneumopathie obstructive (BPCO), les pathologies cardiaques, dont les infarctus, et les cancers du poumon. Par ailleurs, le rôle de la pollution de l'air dans de nombreuses autres pathologies fait l'objet d'études et permet d'affirmer qu'il existe un lien, notamment, entre la pollution et certains problèmes de développement du foetus, et des pathologies certes multifactorielles mais de plus en plus prévalentes comme la maladie d'Alzheimer et l'obésité. A côté de ces effets sanitaires, la pollution de l'air produit des effets non sanitaires, sur la végétation et la biodiversité, sur l'eau mais aussi sur les bâtiments. Après avoir établi ces effets de la pollution de l'air, la commission d'enquête a tenté d'en mesurer les coûts en s'adressant aux administrations en charge de ces dossiers, aux économistes experts de ces questions et aux acteurs eux-mêmes. Elle n'a pu que constater la faiblesse de la mobilisation de l'Etat face à un enjeu qui est durablement inscrit au premier rang des préoccupations de nos concitoyens. La commission d'enquête a analysé l'ensemble des études publiées à ce jour sur le sujet et, là où cela a été possible, tenté d'obtenir de nouvelles évaluations. Elle a abouti au chiffrage le plus complet réalisé sur cette question. A partir de ce constat, et pour rompre avec le cycle des mesures incessamment mises en a
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Pollution de l'air : le coût de l'inaction - Rapport Tome 2 Sénat - 0 views

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    "Rapport de Mme Leila AÏCHI, fait au nom de la CE coût économique et financier de la pollution de l'air n° 610 tome II (2014-2015) - 8 juillet 2015 L'actualité récente a été marquée par des épisodes récurrents de pics de pollution, le dernier en date ayant eu lieu un mois après la constitution de la commission d'enquête sur le coût économique et financier de la pollution de l'air. Or, si ces pics entraînent un afflux de consultations aux urgences, c'est la pollution « de fond », c'est-à-dire la pollution constante, qui provoque les effets les plus durablement néfastes pour la santé. Les trois types de maladies causées par la pollution de l'air les plus communes sont les maladies respiratoires, au premier rang desquelles la bronchopneumopathie obstructive (BPCO), les pathologies cardiaques, dont les infarctus, et les cancers du poumon. Par ailleurs, le rôle de la pollution de l'air dans de nombreuses autres pathologies fait l'objet d'études et permet d'affirmer qu'il existe un lien, notamment, entre la pollution et certains problèmes de développement du foetus, et des pathologies certes multifactorielles mais de plus en plus prévalentes comme la maladie d'Alzheimer et l'obésité. A côté de ces effets sanitaires, la pollution de l'air produit des effets non sanitaires, sur la végétation et la biodiversité, sur l'eau mais aussi sur les bâtiments. Après avoir établi ces effets de la pollution de l'air, la commission d'enquête a tenté d'en mesurer les coûts en s'adressant aux administrations en charge de ces dossiers, aux économistes experts de ces questions et aux acteurs eux-mêmes. Elle n'a pu que constater la faiblesse de la mobilisation de l'Etat face à un enjeu qui est durablement inscrit au premier rang des préoccupations de nos concitoyens. La commission d'enquête a analysé l'ensemble des études publiées à ce jour sur le sujet et, là où cela a été possible, tenté d'obtenir de nouvelles évaluations. Elle a abou
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Institut Montaigne - Comment l'Europe peut faire basculer le monde vers la dé... - 0 views

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    "Les pays européens sont parmi les plus susceptibles d'atteindre les objectifs de l'accord de Paris sur le climat. Les membres de l'Union européenne ont renouvelé, à la quasi-unanimité, leur objectif de neutralité carbone d'ici 2050. Leurs actions, avec une baisse de 23 % des émissions territoriales depuis 1990, vont en ce sens. Pourtant, à ce stade, l'objectif 2050 paraît encore héroïque. Face à l'urgence climatique, les opinions publiques sont inquiètes et demandent qu'on en fasse plus et plus vite, sans toujours bien saisir l'ampleur des actions à mener, ni les coûts associés. Pour parvenir à leurs objectifs, les pays européens doivent continuer à sensibiliser les citoyens sur les changements nécessaires dans leurs vies de tous les jours, à mobiliser entreprises et collectivités et à accélérer les politiques de transformation dans les domaines clés que sont l'énergie, les transports, et les modes de production et consommation. C'est l'objectif du pacte vert pour l'Union européenne proposé par la Commission le 11 décembre dernier, qui esquisse une stratégie multiforme et un agenda.  Il manque cependant une dimension essentielle aux actions des 28, sans laquelle l'objectif 2050 risque de rester lettre morte. "
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The Conversation - Le monde d'après Hiroshima : comment le nucléaire est entr... - 0 views

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    "Le 8 août 1945, soit deux jours après qu'un avion B-29 américain Enola Gay ait largué la première bombe atomique sur Hiroshima, Albert Camus écrivait dans l'éditorial du journal Combat : « la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques. » Il n'était pas le seul à être terrifié par le pouvoir d'anéantissement de cette arme nouvelle. Bien d'autres intellectuels français ou étrangers - François Mauriac, Bernard Charbonneau, Lewis Mumford, Gunther Anders ou Michel Serres - ont pensé Hiroshima comme un événement qui marque non seulement la fin de la Seconde Guerre mondiale mais aussi comme un tournant historique tel que le monde d'après ne pourrait plus ressembler au monde d'avant. Et pourtant le nucléaire militaire et civil s'est installé durablement dans nos sociétés, dans les pays vaincus comme chez les vainqueurs. Le Japon qui a éprouvé la violence soudaine de l'explosion atomique et la violence rampante, sourde et insidieuse, des effets des radiations sur des centaines de milliers de victimes, n'a pas hésité à s'équiper de centrales nucléaires dès les années 1950, résolu à jouir du confort moderne en consommant biens et produits. Et le programme nucléaire national a été soutenu par une grande partie de la population japonaise, y compris parmi les victimes d'Hiroshima et Nagasaki. Comment comprendre un tel choix technologique quand on a été témoin et victime du potentiel destructeur de l'atome, quand l'électricité abondante et gratuite n'était qu'une promesse alors que les souffrances des victimes des deux bombes étaient une réalité quotidienne ? En 2011, l'accident de Fukushima venait rappeler la violence des réactions atomiques. Mais cette catastrophe, comme les précédents accidents de
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CESE - Synthèse - Consultations citoyennes sur le "Monde d'après" la crise de... - 0 views

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    Dans le cadre de la mission confiée par le Président de la République au Président du CESE pour identifier les priorités et les préoccupations des Français dans l'après crise sanitaire, le Conseil, avec l'appui de la DITP, a demandé au cabinet Roland Berger de réaliser une synthèse des contributions des plateformes. Ces plus de 300 000 contributions exprimées par les Français ont été formulées sur les nombreuses plateformes de consultation citoyenne ayant émergé pendant la crise, à l'initiative d'associations (Croix Rouge, WWF…), d'acteurs du digital (Make.org, Bluenove, Recovery), d'entreprises engagées (Groupe SOS) ou de personnalités politiques (par exemple la consultation « Le Jour d'après » portée par 60 parlementaires). Elles ont permis d'alimenter la contribution du CESE, contribution collective de toutes ses formations de travail, des groupes et des organisations, une contribution permettant ainsi une vision plus globale de la société civile. A quelques jours de l'intervention, le 14 juillet prochain, du Président de la République pour préciser les contours du « nouveau chemin » qu'il souhaite tracer, le CESE rend publics les principaux enseignements de ces consultations. Ce travail constitue par ailleurs la première pierre de la future mission du Conseil de « carrefour des consultations publiques », telle que prévue dans sa réforme présentée le 7 juillet dernier lors du premier Conseil du ministre du gouvernement de Jean Castex.
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Nevers - Semaine "Laudato Si'", 16-24 mai - 1 views

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    "Au milieu de ce temps très particulier que nous vivons à cause de la pandémie, nous sommes invités par le Pape François à vivre « la semaine Laudato Si' » entre le 16 et le 24 mai, pour célébrer le 5ème anniversaire de l'encyclique. Nous sentons que la crise sanitaire que nous vivons est une opportunité majeure pour avancer dans la conversion écologique et que Laudato Si' nous donne une excellente base de réflexion pour le faire. Or les solutions ne sont pas évidentes à trouver et à mettre en place du fait notamment de la grave crise économique provoquée. Avant de nous lancer dans des propositions concrètes, il nous semble nécessaire de nous donner un temps de discernement individuel et collectif, pour bien identifier les actions à mettre en place. A partir du questionnaire proposé par le philosophe Bruno Latour pour penser « le jour d'après », et en lien avec Laudato Si', nous vous proposons une démarche de réflexion collective, qui pourrait aider les communautés chrétiennes à bien identifier, dans le contexte exceptionnel que nous vivons, les bons leviers d'action en faveur de la conversion écologique. Il s'agit d'une réflexion à faire premièrement au niveau individuel et à partager ensuite en petit groupe (famille, voisins, groupe paroissial, …) Vous trouverez ci-joint le questionnaire avec le protocole d'application (Exercice d'auto-description «  Où atterrir après la pandémie ? ») et une petite réflexion pour fonder l'intérêt de l'exercice proposé en lien avec l'appel de Laudato Si' (« La crise sanitaire : un kaïros pour la conversion écologique » ). Outre cette initiative à laquelle nous vous proposons de vous associer pour la semaine Laudato Si', nous vous informons d'autres propositions dont vous pourrez également vous inspirer localement : le GCCM (Global Catholic Climat Movment) propose un moment commun de prière le 24 mai à 12h (ci-joint un déroulé de
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Odoxa - Les Français et la mobilité : la voiture est toujours plébiscitée et ... - 0 views

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    "Jamais les modes de transports et moyens de mobilité mis à disposition des Français n'auront été aussi nombreux et diversifiés et jamais ils n'auront autant été utilisés. 7% des Français utilisent ainsi déjà la trottinette électrique, 13% les scooters et motos et près d'un Français sur deux (48%) utilise (réutilise car c'est un « come-back ») le vélo ! 0 % Mais surtout, ces modes de transports nouveaux ne sont pas vécus à l'exclusion des « anciens » moyens de transport comme les transports en commun et la voiture, mais bien en complémentarité avec ceux-ci. D'ailleurs, 28% des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transports distincts pour leurs trajets quotidiens. 0 % Surtout, la « concurrence nouvelle » de ces nouveaux modes de transports n'induit pas de rejet des modes de transports traditionnels. Au contraire, notre étude montre même que la voiture est toujours, et de loin, le mode de transport le plus utilisé (93% des Français l'utilisent dont 47% tous les jours ou presque) mais surtout, le plus apprécié y compris par ceux qui l'utilisent moins (par incapacité). Ainsi, en passant au crible plus d'une dizaine de dimensions s'agissant des critères les plus importants en termes de mobilité, et en mettant en concurrence la voiture avec l'ensemble des autres modes de transport, c'est l'auto qui vire largement en tête. Enfin, et surtout, notre étude sur la mobilité nous permet de montrer toute la diversité des comportements, usages et attitudes des Français en les distinguant en 7 grandes catégories de populations en termes de mobilité. Ces groupes ont pu être constitués à la fois en tenant compte des rapports spécifiques à la mobilité enregistrés dans l'étude, mais aussi en intégrant les dimensions socio-démographiques inhérentes à l'enquête. Des « multimodaux » ou des « écolomobiles » urbains, jeunes et diplômés aux
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Institut Montaigne - Résumé - Transition énergétique : faisons jouer nos réseaux - 0 views

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    Savez-vous comment l'électricité est acheminée jusqu'à votre domicile ? Comment le gazole arrive jusqu'à la pompe ? Ou encore comment votre chaudière fonctionne ? Connaissez-vous les infrastructures qui, chaque jour, acheminent l'énergie chez vous ou dans les entreprises et les administrations ? La réponse est : les réseaux énergétiques. Ce sont eux qui acheminent l'électricité, le gaz, le pétrole et la chaleur / ou le froid jusqu'aux utilisateurs finaux. En France, nous bénéficions d'infrastructures de qualité. Mais à l'heure où le gouvernement français s'est fixé un objectif de neutralité carbone en 2050, les réseaux français font face au défi de la transition énergétique : quelles transformations faut-il envisager pour leur permettre de transporter des énergies renouvelables ? Faut-il les digitaliser pour permettre une meilleure consommation ? etc. Ce rapport vient compléter une large réflexion menée par l'Institut Montaigne sur la transition énergétique : une analyse de la stratégie nationale en matière énergétique et une réflexion sur les deux secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France, le transport et le bâtiment.
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Institut Montaigne - Rapport - Transition énergétique : faison jouer nos réseaux - 0 views

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    Savez-vous comment l'électricité est acheminée jusqu'à votre domicile ? Comment le gazole arrive jusqu'à la pompe ? Ou encore comment votre chaudière fonctionne ? Connaissez-vous les infrastructures qui, chaque jour, acheminent l'énergie chez vous ou dans les entreprises et les administrations ? La réponse est : les réseaux énergétiques. Ce sont eux qui acheminent l'électricité, le gaz, le pétrole et la chaleur / ou le froid jusqu'aux utilisateurs finaux. En France, nous bénéficions d'infrastructures de qualité. Mais à l'heure où le gouvernement français s'est fixé un objectif de neutralité carbone en 2050, les réseaux français font face au défi de la transition énergétique : quelles transformations faut-il envisager pour leur permettre de transporter des énergies renouvelables ? Faut-il les digitaliser pour permettre une meilleure consommation ? etc. Ce rapport vient compléter une large réflexion menée par l'Institut Montaigne sur la transition énergétique : une analyse de la stratégie nationale en matière énergétique et une réflexion sur les deux secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France, le transport et le bâtiment.
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Le Havre - Semaine Laudato Si' en temps de pandémie - 0 views

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    "Au milieu de ce temps très particulier que nous vivons à cause de la pandémie, nous sommes invités par le Pape François à vivre « la semaine Laudato Si' » entre le 16 et le 24 mai, pour célébrer le 5ème anniversaire de l'encyclique. Nous sentons que la crise sanitaire que nous vivons est une opportunité majeure pour avancer dans la conversion écologique et que Laudato Si' nous donne une excellente base de réflexion pour le faire. Or les solutions ne sont pas évidentes à trouver et à mettre en place du fait notamment de la grave crise économique provoquée. Avant de nous lancer dans des propositions concrètes, il nous semble nécessaire de nous donner un temps de discernement individuel et collectif, pour bien identifier les actions à mettre en place.  A partir du questionnaire proposé par le philosophe Bruno Latour pour penser « le jour d'après », et en lien avec Laudato Si', nous vous proposons une démarche de réflexion collective, qui pourrait aider les communautés chrétiennes à bien identifier, dans le contexte exceptionnel que nous vivons, les bons leviers d'action en faveur de la conversion écologique. Il s'agit d'une réflexion à faire premièrement au niveau individuel et à partager ensuite en petit groupe (famille, voisins, groupe paroissial, …). Vous trouverez ci-dessus le questionnaire avec le protocole d'application (Exercice d'auto-description « Où atterrir après la pandémie ? ») et une petite réflexion pour fonder l'intérêt de l'exercice proposé en lien avec l'appel de Laudato Si' (« La crise sanitaire : un kaïros pour la conversion écologique ») :"
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Le Havre - L'Avent "Un jour, Un défi "! - 0 views

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    "La Pastorale des Jeunes et le Service Eglise Verte vous accompagnent tout au long de l'Avent avec un calendrier un peu spécial … En effet, nous vous proposons « Un Jour, Un Défi » ! Comme vous pouvez le comprendre, chaque jour un défi vous sera proposé pour vivre une expérience unique à travers le thème de l'Ecologie. Nous avons décidé de séparer l'avent en 4 semaines à thème : Les Cadeaux L'Empreinte Numérique Le Désencombrement Le Repas de Noël Ces Défis seront accompagner de pistes de réflexions, de liens utiles ou d'explications … Ça sera aussi l'occasion de penser aux autres, en cette période de l'Avent, pas comme les autres et de prendre soin de notre « Maison Commune » la planète !"
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Toulouse - Vivre le Carême 2021 sur internet ! - 0 views

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    "Le Carême des mouvements diocésains Un échange entre représentants de différents mouvements et associations de fidèles avec Mgr Robert Le Gall a donné l'idée d'un site pour accueillir l'Esprit Saint en priant ensemble dans la diversité de nos charismes. Au programme : une méditation par jour pour mieux nous connaître (Arche, Bonne Nouvelle Quart Monde, Chemin Catéchuménal, Famille Franciscaine, EAP, Focolari...) et de faire grandir l'unité entre nous et au sein de notre diocèse. ► À consulter chaque jour ici   Le Carême écologique C'est la proposition-phare de cette année 2021 ! La Commission diocésaine pour l'écologie a proposé cette année un carnet de Carême "Vers une conversion intégrale, par le renouvellement de sa relation à Dieu". L'idée est de proposer une "écologie de l'être", nourrie d'une conversion intérieure et d'une relation avec Dieu. Une version en ligne a été conçue. ► Accéder au Carême écologique en ligne ici   Le carême sms Pour la seconde année, le diocèse de Toulouse vous accompagne dans votre démarche personnelle de conversion en proposant de marquer un temps d'arrêt dans notre rythme quotidien, pour retrouver le temps de prier et de réfléchir. 40 jours = 40 sms ! Recevez des paroles de la Bible, de Pères de l'Église ou de grands témoins pour nous aider à devenir plus forts dans la foi. ► Infos et inscription gratuite ici"
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Mende - Merci aux pompiers ! - 0 views

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    "J'aimerais ici dire, avec des mots simples que je crois vrais, un immense merci aux sapeurs-pompiers et aux diverses forces de sécurité. Leur disponibilité à chaque heure du jour et de la nuit nous édifie. Leur courage, leur sens du service, leur capacité à lutter contre ces feux dans des conditions extrêmes force notre respect et notre admiration. Certains, jeunes, ont consacré une partie de leurs vacances dans cette bataille menée avec « l'esprit de famille » par les membres du SDIS. D'autres ont laissé leur activité professionnelle pour intervenir avec détermination contre les incendies au risque parfois, il faut bien le dire, de leur vie. Soldats du feu, professionnels et volontaires, hommes et femmes, ils l'ont été. Oserai-je le dire : nous sommes fiers d'eux ! Au cœur de cet « été de feux », nous leurs devons beaucoup.       Ces jours et ces nuits de cauchemar qualifiés par ces « mégas incendies » ont suscité une formidable solidarité auprès des pompiers : habitants des communes touchées, élus, vacanciers, agriculteurs… Ces derniers sont, eux aussi, durement marqués. La Lozère, pays des sources, manque d'eau. Pour les troupeaux et pour les terres, les temps sont durs. Il a plu le 14 août, un point c'est tout ! Peu de régions sont d'ailleurs épargnées. L'avenir avec les canicules et les sécheresses estivales récurrentes inquiète. Nous nous sentons vulnérables. Cette prise de conscience, une fois encore, nous oblige au respect de la terre et à la responsabilité dans notre « maison commune ». Le pape François, dans son encyclique Laudato Si', nous interpelle : tout est donné, tout est lié et tout est fragile ! A tous, bonne rentrée.  "
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